Europe 1 relaie une étude de l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) portant sur les effets des pesticides utilisés par les viticulteurs. Menée dans la région bordelaise, l'étude révèle que les personnes exposées voient leur mémoire, leur concentration, ou leur vigilance diminuer à une vitesse anormalement rapide. Pire, ces troubles pourraient déboucher pour les victimes au développement des maladies de Parkinson ou d'Alzheimer. Pour les producteurs comme pour les consommateurs : vite, l'agiculture biologique !
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