Ce film conte les aventures d’un groupe de Français partis en Guyane pour y faire le casse d’une mine d’or. Une fois leur méfait commis et 600 kilos d’or volés, place à la fuite dans la forêt amazonienne avec un trésor devenu bien encombrant. Côté casting, aux côtés de Bruno Solo, on retrouve l’homme qui tourne dans environ 86% des productions françaises depuis 5 ans, Clovis Cornillac.
Le rapport avec le WWF ? Tout simplement que l’industrie de l’or en Guyane est un moyen pour l’ONG de rappeler sa campagne sur l’or illégal lancée pour la dernière Saint-Valentin. La Guyane étant un des principaux territoires où les orpailleurs illégaux extraient le paillettes du précieux métal à coups de mercure, ce partenariat semble venir à point nommé. Pour Serge Orru, le directeur général du WWF France, le film "parvient en une poignée de minutes à incarner le fléau gigantesque qui frappe actuellement la Guyane et une part croissante de l’Amazonie : la fièvre de l’or".
L’occasion de se redocumenter sur le problème de l’orpaillage illégal en Guyane, et de passer un bon moment (d’après les critiques) dans les salles obscures.
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