«Nous n’avons pas tiré de bénéfice particulier du protocole de Kyoto et nous n’avons pas pu en profiter du point de vue commercial». Ces propos sont ceux de Dimitri Medvedev, Premier ministre russe, et ils inquiètent.
Ils inquiètent parce que la période d'engagement des signataires du Protocole de Kyoto expire à la fin de cette année 2012, et qu'en cas de prolongation, ils laissent présager un retrait de la Russie, tout comme l'avait fait le Canada en 2011. Inquiétude.
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