Ce matin, au tribunal de Troyes, les 9 militants de Greenpeace qui étaient montés sur le dôme de la centrale nucléaire de Nogent sur Seine, comparaissaient. Mis en examen pour mis en examen pour violation de domicile et dégradation grave en réunion d’un bien d’utilité publique et, pour certains, refus de prélèvement d’ADN, le procureur a requis entre quatre et six mois de prison avec sursis et des amendes allant de 1000 à 1500 euros pour chacun d'entre eux. le site de l'ONG précise que ces peines correspondent aux poursuites pour violation de locaux professionnels et dégradations en réunion, et ajoute qu'ils encourent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende. Réponse définitive le 21 février…
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