L'objectif avoué de l’asso, c'est de "repeindre en vert le sport, en repensant radicalement ses usages et pratiques, ses modes d’organisation et de financement, ainsi que les manières dont on en parle, le tout pour le rendre plus éco- compatible". Chacun est invité à prendre part au mouvement : pratiquant occasionnel, licencié d'une fédération, dirigeant d'un club, ou simple spectateur. La première façon de faire de cette année 2012 une année écolympique, c'est d'adopter et de promouvoir des modes de consommation durables, ceux répétés encore et encore dans ces pages : faire attention au gaspillage, favoriser les modes de transports doux, consommer local…
La seconde option pour s'inscrire dans ce mouvement, c'est de signer la charte mise en ligne sur le site de l'évènement, qui formalise votre engagement selon 12 principes parmi lesquels la responsabilité, la solidarité, l'équité, le bien-être… Sinon, vous pouvez aussi devenir un écolympien, soit un ambassadeur du mouvement : il s'agit là d'une preuve de bonne volonté, faisant de vous un relais auprès de vos proches du mouvement, en vous tenant au courant de toutes les échéances, en téléchargeant les documents de synthèse sur le site et en relayant les évènements répertoriés dans le calendrier déjà en ligne.
Tout ça nous rappelle que l'écologie dans le sport, ce n'est pas qu'un club de NBA qui décide de mettre des panneaux solaires sur le toit de sa salle de 20 000 personnes, c'est aussi (et surtout) des anonymes et des associations qui oeuvrent pour que la pratique sportive soit la moins impactante possible sur l'environnement.
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