Motif : la persistance de substances nocives pour l'ozone dans l'atmosphère, et un hiver beaucoup plus froid que d'habitude pour la stratosphère ( soit la troisième couche de l'atmosphère, qui contient une grande partie de la couche d'ozone). Le dernier record enregistré était de 30% de déperdition d'ozone au dessus de l'Arctique.
L'OMM indique que depuis le protocole de Montréal entré en vigueur en 1989, les substances nocives pour l'ozone ont progressivement été supprimées, ce qui devrait entraîner un retour à la normale de la couche d'ozone au-dessus de l'Arctique d'ici 2025 à 2040.
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