Les neufs militants de Greenpeace qui avaient pénétré par effraction dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine ont gagné un peu de répit. Alors qu'ils devaient être jugés par le tribunal correctionnel de troyes, celui-ci s'est déclaré aujourd'hui "incompétent" et a conseillé au parquet de renvoyer le procès devant le tribunal de Reims. En agissant ainsi, les militants et l'ONG voulaient démontrer que les normes de sécurité des installations nucléaires françaises sont insuffisantes et méritent d'être revues. Une telle réorganisation est en marche. On attendra donc encore un peu avant de connaître le sort des 9 accusés.
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