Par Selon une série d'audits indépendants menés à Tokyo, une partie des 184 milliards d'euros alloués au Japon à la reconstruction suite à la catastrophe naturelle et à celle de Fukushima, ont été purement et simplement détournés pour financer d'autres projets. Et des projets qui n'ont rien à voir avec une quelconque reconstruction. Comme par exemple l'entretien de routes à 1600 km des lieux du drame, ou… la protection de la flotte baleinière contre les militants écologistes.
Ici, ce sont quand même 22 millions qui auront été investis, pour des résultats heureusement peu satisfaisants, puisque les dernières campagnes nippones n'auront même pas permis d'atteindre les quotas préalablement définis, grâce à l'action d'organisations comme Sea Shepherd.
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