Par Conçu par GSky Plant System, designer spécialisé dans l’ornementation végétale de bâtiments urbains, cet espace verdoyant, de ballade et de quiétude, permet de découvrir de 40 000 plantes dont 25 espèces différentes, au gré des méandres du parcours.
Cette petite grande merveille qui s’étale sur une surface de 378 m2, a nécessité 2 520 heures de travail soit un tiers d’année. En France, on connaissait déjà le mur végétal de Patrick Blanc près du Quai Branly mais là, on réalise vraiment l’ampleur du concept à la fois esthétique, écologique, et ingénieux : démonstration en 4 temps.
Grâce aux technologies les plus avancées, GSky a équipé le mur de capteurs de surveillance à distance qui assurent un goutte à goutte continu à 3 800 endroits différents pour que la végétation puisse s’épanouir et résister à toutes les conditions atmosphériques.
En plus de l’aspect artistique et découverte qu’offre ce nouveau paysage très agréable pour les citadins, les bénéfices écologiques de ce mur végétal sont éloquents. Il va permettre d’améliorer la qualité de l’air (et la santé humaine par la même occasion) en capturant approximativement 7 tonnes de poussière et autres toxines polluantes par an, soit l’équivalent de ce que pourraient faire naturellement 90 arbres. Mais ce n’est pas tout, il offre également une protection du bâtiment contre les pires intempéries, et par conséquence une diminution des coûts d’énergie pour tempérer l’espace.
Enfin, véritable barrière aux agressions sonores, ce mur transforme cet espace en un lieu de tranquillité et de recueillement. Comme quoi, quand la botanique s’installe en ville, technologie et écologie peuvent rimer avec grandes économies et petit paradis !
CM.
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