Par "Le nucléaire sûr n'existe pas". C'est un slogan martelé par Greenpeace depuis l'accident gravissime de Fukushima en mars dernier. La branche française de l'ONG oeuvre pour une sortie du nucléaire en France, mais n'est pour l'instant pas entendue par les pouvoirs publics, qui lui opposent l'argument de la sûreté des installations nucléaires du pays et la fiabilité de la technologie. Ce matin, Greenpeace a donc voulu prouver que la sécurité dans les centrales nucléaires, ce n'est pas tout à fait ça : les militants entrés par effraction "étaient sur la partie la plus sensible de la centrale, à savoir le réacteur nucléaire" en quinze minutes selon un porte-parole de l'organisation, qui a déclaré sur Europe 1 que "si une poignée de militants de Greenpeace avec de bonnes intentions et sans réels moyens arrive à pénétrer dans une centrale, ça démontre toute la faiblesse du système". Comment lui donner tort sur ce coup-là ?
+ d'infos : www.energie-climat.greenpeace.fr
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